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La presse parle de Dangreville Pt. 16

Mardi 28 août, Dangreville recevait la visite de l’ambassadrice du Kazakhstan à Caulières. L’occasion de nouer des liens en vue de potentielles exportations vers un pays cinq fois plus grand que la France.

Les bennes et remorques de Dangreville, fabriquées dans la Somme depuis sa création, pourraient traverser l’Europe. En effet, l’entreprise familiale et locale d’une cinquantaine d’employés recevait une visite exceptionnelle que le maire de Caulières, Pierre Robitaille, ancien agriculteur, n’aurait manquée sous aucun prétexte.

Gulsara Arystankulova, ambassadrice du Kazakhstan, était en visite dans le Somme le mardi 28 août. Elle était d’abord chez JJA à Flixecourt puis à Malterre du côté de Moreuil avant de venir chez Dangreville.

Ces visites, initiées par l’ex-député Jean-Claude Leclabart, Jean-Bernard Grubis d’OXXO conseil, et Fabrice Neveu, ancien sous préfet à la relance dans la Somme devenu consul général de France au Kazakhstan, devaient permettre à l’ambassadrice de prospecter afin de nouer des partenariats avec des entreprises familiales et réactives. Emmanuel Carpentier, PDG de Dangreville, lui a donc fait la visite du site de production et a présenté les cadres de la firme.

Dangreville, C’est 15 À 20 % D’exportations

Lors de la visite, Emmanuel Carpentier n’a pas manqué de mettre en avant la toute nouvelle presse plieuse arrivée en août grâce au plan de relance qui en a financé 600 000 € sur 1,6 million d’€.

En termes d’exportations, Dangreville n’en est pas à son coup d’essai. L’entreprise a déjà exporté son matériel vers Israël, la Russie, l’Ukraine, ou encore la Belgique, son plus gros client. Mais la guerre ne permet plus d’assurer toutes les commandes. L’exportation représente 15 à 20 % du chiffre d’affaires de Dangreville. Pour autant, tempère la firme, « on ne veut pas partir dans tous les sens. Il faut avancer doucement ». Il ne serait de toute façon pas possible d’exporter à tout va, car l’homologation des véhicules qui déplacent le matériel peut changer dans chaque pays traversé.

Et le Kazakhstan pourrait s’avérer être un partenaire de qualité. En effet, le 9e pays le plus vaste du monde est le numéro 2 mondial pour la surface de terres agricoles par habitant. De plus, le gouvernement souhaite amplifier son agriculture afin de dépendre de moins en moins du gaz et du pétrole tout en se rapprochant de l’autosuffisance alimentaire.

L’ambassadrice a donné rendez-vous à Emmanuel Carpentier à Paris pour poursuivre les discussions et peut-être nouer un partenariat vers le Kazakhstan.[/vc_column_text]

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